Cross Blades! (Irem)

Les tests et toute l'intimité de vos jeux préférés

Cross Blades! (Irem)

Message par Kretinou » 23 Avril 2014, 16:17

Image

Barbare à papa

Bienvenue dans la machine à remonter le temps. Installez-vous : Aujourd'hui nous partons en 1991. En cette année George Bush fait la couverture du magazine Times et on découvre Ötzi, l'homme des glaces. Mais c'est aussi une autre trouvaille que l'on va dénicher dans les salles d'arcade enfumées : Cross Blades! (ou Blade Master pour les versions overseas). Aux prémices de l'âge d'or du beat'em all (1992-93), la tendance est surtout au Hack'n Slash. Capcom, qui a déjà une bonne longueur d'avance dans le genre sur la concurrence, sort (juste après Magic Sword) l'excellent King of the Dragons. Bien entendu, tous les grands de l'arcade s'y mettront au moins une fois et c'est donc au tour de IREM de montrer ses talents.




Thundering swords, rip monsters ! Booming spear, pierce beasts

Dans des temps anciens, avant même que votre arrière grand-père ne soit né, vivait un Démon qui s'ennuyait ferme et rêvait de conquêtes. Il se dit un jour que le règne du genre humain devait cesser et se constitua une armée de chimères pour envahir les territoires et soumettre les hommes en esclavage. Si son plan était assez simple, il lui restait néanmoins à abattre un obstacle : La Princesse Emina. En effet, cette dernière disposait depuis sa naissance d'un pouvoir permettant de sceller n'importe quel être démoniaque. Sentant le danger, le Démon des reptiles envoya une horde de sbires pour capturer son altesse et la torturer, lui infliger les pires supplices, la déshabiller, la vio... hum enfin bon, vous avez compris, ça sera pas un épisode de Bisounours.

Image
Avec un joli cri bien strident en bonus

Monumentale erreur !

Hé oui, The Queen of snakes n'avait pas prévu que Emina était la fiancée de Roy et la soeurette d'Arnold, deux des meilleurs Maîtres d'armes du Royaume. À peine le kinapping commis, nos deux héros partent en croisade pour récupérer la princesse et se confectionner des paires de santiags en peau de serpent. Que la chasse commence !


Les fines lames

Le jeu démarre donc avec la sélection d'un des deux personnages si vous jouez seul :

Image

Image
Roy

Lui c'est le beau gosse de l'histoire, muscles saillants et cheveux façon Jon Bon Jovi, ses armes de prédilection sont deux épées fines, acérées et dégageant une décharge d'éclairs. Ses attaques sont rapides et permettent d’enchaîner rapidement les ennemis sans temps mort. Avec lui il ne faudra pas avoir peur d'aller au corps à corps à cause de sa portée assez courte mais vous aurez l'avantage de la largesse de son attaque pour frapper plusieurs adversaires à la fois. Il dispose aussi d'une attaque en l'air assez puissante et qui permettra d'avoir un ascendant non négligeable, surtout contre les boss. Je recommande ce personnage pour les personnes qui commenceraient la première fois avec ce jeu.


Image
Arnold

Arnold est une force de la nature, le genre de gars à qui vous dites merci lorsqu'il vous marche sur le pied. Maître d'armes respecté, c'est aussi lui qui forma Roy au maniement de tout ce qui tranche ou fait mal. Il dispose d'une lance et d'une sorte de fléau d'armes qui sera redoutable en contre-attaque. Au début, avec sa portée d'attaque, on pense tout de suite qu'Arnold est l'homme de la situation. Mais en fait pas vraiment ; son point faible est l'attaque sautée qui est approximative. Un défaut qui se fera sentir dans les combats aériens ou lors de rapports de force avec les Boss. Autre désaveu : La taille qui le rend plus lent avec une hitbox plus massive. Hormis cela, il est assez fun quand même.^^

Au niveau des contrôles c'est à la fois simple mais avec un poil de variations, assez rare pour les beat'em all de cette période.


:stickr:

:br: Attaque

:bb: Saut

Attaque conventionnelle

Pas de miracles, on appuie sur :br: et ça tape. Pas de possibilité de faire des chaînes de coups.


Image

Attaque orientée

Lors d'un jump :bb: , il est possible d'orienter son attaque au stick avec :br: . C'est un coup assez puissant qui retire deux fois plus d'énergie à l'ennemi que l'attaque conventionnelle. Evidemment, contre les monstres volants, elle sera nécessaire.


Image

Attaque de feu

Un coup bien utile. Après le saut :bb: , maintenez le stick vers le bas et appuyez sur :br: au contact du sol. Cela aura pour effet de créer une décharge d'énergie derrière et devant vous. Une technique indispensable pour survivre dans ce jeu.


Image

Attaque au sol

Frapper un opposant au sol c'est moche et certainement mal vu par les droits de l'Homme. Mais bon on s'en fiche, c'est des monstres qu'on tabasse. Après un saut + :br: , n'hésitez pas à vous ruer sur le boss et le lacérer de coups (3 maximum).


Image

Contre-attaque

Bon, la contre-attaque est plus technique selon le personnage que l'on contrôle. Si on utilise Arnold, on ne fait pas dans la dentelle. Lorsque vous frappez un adversaire en même temps que lui, la contre-attaque se lance automatiquement. Arnold pare l'attaque et envoie en pleine tronche de son opposant la grosse boule à piques de son fléau d'arme.

Roy est plus fin. Contre des adversaires avec des armes blanches, il pare avec une épée et puni droit derrière avec l'autre. Par contre, en présence de monstres avec des fouets, c'est plus classe. Avec son arme, il maintient le fouet entouré autour de la lame immobilisant l'ennemi. Durant cette action, il reste possible de frapper avec la seconde épée de l'autre côté de son flan puis fracasser celui qu'on a immobilisé. Une autre possibilité, très stylée, est de bloquer deux adversaires avec des fouets, se dégager et leur régler leur compte les uns après les autres. Une technique efficace mais qui demandera un peu d'entrainement tellement l'action est intense.


Image Image

Les objets utiles

Soyons clair, nous ne sommes pas dans une période du beat'em all pour le fun mais pour scorer (et parallèlement faire cracher des pièces au joueur). Donc, ne vous attendez pas à trouver des armes ou des pouvoirs ; c'est pour les tapettes. Durant votre chemin vous croiserez des jarres avec des items, soit pour se revitaliser, soit pour gagner des points.


Image
Jarre Brisez-les et amassez les trésors suivants :

Image
Eau de vie Gain énergie

Image
Crystal de roche 1000 points

Image
Couronne 3000 points

Image
Statue en or 5000 points

Vous avez tout assimilé ? Alors la quête peut commencer ainsi que votre formation de boucher-charcutier.


Mortadelle, salami & happy hours

Raid on Sandstorm Fort

Le point départ est le lieu où Emina s'est fait enlever : Fort Sandstorm. Cette immense construction de pierre semble avoir dépassé les nuages et laisse entrevoir une mer de brouillard où seules les cimes des montagnes forment des ilots. Très vite une armée d'orcs vient vous rappeler que la fortification est sous la pression de l'envahisseur. Serrez bien vos armes en main car il n'y aura que cela pour vous aider à avancer. Rester en mouvement sera la clé de la survie. La fin du stage est une plateforme mobile qui vous mènera dans un canyon pour la suite de votre aventure. Malheureusement un boss de fin de niveau sera là pour vous empêcher d'y accéder. Laid comme comme le Dieu Dagoth dans Conan Le Destructeur, ce monstre ne sera pas un adversaire redoutable. Immobile, il vous suffira de rester à bonne distance et le mater à coups d'attaque de feu. Une fois mort, c'est l'accès assuré à l'élévateur.


Image Image

Escape from the Valley of the Death

Cette fois on s'enfonce un peu plus dans les ténèbres en évoluant sur une passerelle en bois étroite. Heureusement, à certains endroits, la plage de combat s'étendra sur une aire plus espacée. Enfin, je ne sais pas si c'est bien au final car cela implique une ribambelle d'ennemis sur chaque flancs. En renfort aux orcs viendront se joindre des humains à tête de vautour crachant du feu et d'autres ennemis qui surgiront de nulle part dans la danse à l'aide de plateaux volants. Pour compliquer la situation, certains morceaux de la passerrelle sont manquants et vous forceront à effectuer des sauts au-dessus d'un vide mortel. Le stage se termine en zigzaguant entre les flèches de gremlins squelettiques et de robots kamikazes. Enfin par "se termine", j'ai parlé un peu trop vite car le gardien, qui fait trois fois votre taille et muni d'une hache aiguisée, a décidé de se faire un Carpaccio avec votre petit corps.


Image Image

Battle on Hell Hill

Ce n'est pas Benny Hill qu'il faut lire mais bien Hell Hill (la falaise de l'enfer). Comment y accéder ? Tout simplement sur le dos d'un insecte et à plein régime. Une scène de vitesse assez courante qu'on retrouve dans de nombreux beat'em all où il faut slalomer entre les adversaires et les pulvériser rapidement. Cette phase vous oppose à des orcs chevauchant des Manticores (crachant du feu) ou des oiseaux ressemblant à des Archaeopteryx. Finalement l'insecte vous dépose au bord de la falaise et vous laissera vous démener contre une invasion d'araignées décidées à faire de vous leur quatre heure. Évitez d'être trop près une fois qu'elles meurent, en explosant elles dégagent un nuage de poison pas très bon pour les bronches. Bien tendu, la suite est un florilège de monstres et robots qui vous agresseront de toute part avec en prime une surface de jeu assaisonnée de quelques précipices ou obstacles ; chauds les marrons. Le stage se termine avec l'affrontement non pas contre un, ni deux, mais trois boss tout droit sortis du jeu Splatterhouse.


Image Image

Raging Thunder Canyon

Vous êtes encore en vie ? Ok, alors continuons de nous enfoncer en territoire ennemi. Maxime Le Forestier chantait sa maison bleue adossée à la colline, là c'est une corniche et elle est plutôt rouge-sang. En tout cas avec celui de tous vos adversaires qui se précipiteront sur vous ou surgissant des cavernes environnantes. Je peux vous dire que l'action sera intense et qu'il ne faudra pas relâcher l'attention. Pour faciliter la situation, vous aurez droit à des clones du premier boss et ils ne viendront pas à l'unité ; c'est juste un cauchemar. La corniche se termine avec le boss de fin de niveau qui possède une vraie sale gueule. Fixe, ce dernier tentera de vous attraper avec ses mains griffues ou cherchera à vous mastiquer avec son cou extensible. Faites attention à son haleine, il a mangé de la foudre. Un boss qui mélange biomécanique et qui n'aurait pas déplu à H.R. Giger.


Image Image

Ambush below the water

Après toute cette action, il est temps de se débarrasser de la sueur avec une bonne trempette. Promenons-nous dans les bains pendant que le monstre marin n'y est pas. C'est raté, décidément la créativité est là avec une fusion d'humains, d'hippocampes et d'espadons (vous êtes sûrs que nous ne sommes pas dans le test de Mutation Nation ?) qui seront les gardiens de ce niveau. Un stage d'ailleurs superbe par ses effets aquatiques : Brillance de l'eau, cascades et musique lyrique. Mais méfiez-vous de l'eau qui dort et privilégiez de mettre vos pieds au sec lorsque cela sera possible sur la seconde partie du stage. Celàvous fera un peu de répit avant la suite à venir et ralentir le compteur de crédits. Pas de surprise à la fin, du stage, il faut se battre contre une pieuvre géante en évitant ses tentacules un peu trop câlines. Brutalisez son œil, seul point sensible et ne vous faîtes pas un sang d'encre, vous vous en sortez bien ... jusqu'ici.


Image Image

Castle in the air

Ce n'est pas le grand final mais on pourrait presque le croire, à subir tous les représentants des forces du mal en un stage. C'est dans un univers medievalo-futuriste (ça se dit ?) que l'on arpente, à nouveau, un chemin étroit avec des vagues d'ennemis venant de part et d'autre. Hey IREM, faut arrêter le côté Vigilante et Kung Fu Master avec le plan unique :mad:, de l'air quoi ! Rassurez-vous, il reste des recoins stratégiques pour se battre et utiliser l'IA parfois déficiente des orcs. La fin arrivera dans la peine et la douleur avec 2 nouvelles versions survitaminées de "Boris le Hachoir" aka le boss du niveau 2. C'est le moment de maîtriser la contre-attaque et conjuguer l'attaque au sol pour vous en sortir avec le moins de cicatrices possible.

Image Image

Une fois le round terminé, on enchaîne la phase ultime de la quête. À nouveau, on s'assurera de bien vous épuiser avec une cohorte de monstre à gogo : C'est la fête à la baston. Pour bien vous achever, c'est à nouveau le gardien au hachoir en version triplés qui ralentiront votre progression et tenteront de diminuer votre barre d'énergie.

Shodown in a Wasteland

Au plateau suivant on se retrouve en face d'Emina, penaude, qui se fait transformer en sculpturale et jolie brune avec une poitrine 95D. Oui mais voilà, on ne peut malheureusement pas garder cette version car :

1. C'est le boss final,
2. Elle a un corps de serpent ,
3. La créature a décidé de vous faire la peau.

Image

Et puis comme vous êtes sensible à ses charmes et que c'est les soldes, vous en aurez deux pour le prix d'une. Après un combat titanesque, la première version reprendra la forme (et le tour de poitrine :() de Emina. Après avoir tué la source du mal et quelques explosions, il ne restera plus que le squelette du Démon. Emina ayant repris ses esprits exécutera un chant magique et scellera l'esprit maléfique dans une boule de cristal, ceci anéantissant, par la même occasion, l'armée des ténèbres. Il ne vous restera plus qu'à sauter sur votre insecte et retourner au royaume avec Emina pour couler des jours heureux.

Hé ! j'ai dit "vous repartez avec la pisseuse", oubliez le serpent aux gros seins. :mad:


Inspirez, réalisez et expirez

Un jeu Irem, c'est comme une empreinte ADN, dès les premières minutes on reconnaît tout de suite le style et/ou pour son affection post-apocalyptique qu'affectionnent les équipes de production. L'autre signature du créateur de jeu est sans nul doute ces couleurs mais surtout ce sens du détail.

Ce dernier point est visible partout comme le détail des sprites : Les jarres qui volent en éclats, les décors sublimes ou les petites vignettes en haut de l'écran qui expriment l'état de santé de Roy et Arnold. C'est presque à chaque partie que l'on découvre un truc qui avait échappé à notre œil comme, par exemple, la disparition des ennemis dans une animation propre à leur genre. On pourrait encore citer le bouclier de certains orcs qui vole en éclat suivant le coup reçu par les 2 héros, c'est tellement bien vu.

Un autre travail qu'effectue Irem avant de créer est de se plonger (discrètement) dans le 7ème art ou la littérature et recréer un élément artistique ou sonore dans ses jeux. Ici, reprendre certains aspects de Conan le Barbare aurait été trop grossier tant le succès a été fort pour ce film. Néanmoins, il existe un clin d'oeil indéniable qui ressort des prénoms des Maîtres d'armes :

Arnold : Là je pense, tout le monde aura compris la référence à Arnold Schwarzenegger qui marqua le cinéma avec son rôle dans le film de John Milius. La corpulence du sprite valide le tout.

Roy : Avec ce prénom c'est plus subtile et pourtant il fait allusion à un grand nom de la BD qui mis Conan le barbare sur un pied destale sous ce format : Roy Thomas. À noter qu'il a été aussi l'éditeur en chef des Marvel Comics


Image

Après, dans la supposition, en tenant compte de l'époque, plusieurs pistes pourraient être suivies pour le visuel de certains personnages. Par exemple pour Roy, la ressemblance est vraiment troublante avec le héros Ator, surtout si l'on reprend l'affiche publicitaire de "Ator, The Blade Master" (!!!) :

Image

Même physique, genre et tenue des ses épées et quasi même look avec un titre qui laisse songeur. J'avoue ne pas avoir pu regarder ce navet dans son entier tellement il est nul, mais j'ai reconnu ça et là certaines similitudes sans pouvoir les confirmer (araignées et oiseaux par exemple).


En terme d'ambiance, j'aurais plutôt lorgné sur les Maître de l'Univers avec ce côté médévial-mécanico-fantaisie et ses personnages humains avec des têtes de monstres (et les lasers en moins). D'ailleurs, certains orcs sont munis d'une copie du fameux Roton qu'on ne retrouve que dans les Maîtres de l'Univers ; que ce soit dans le dessin-animé, les jouets ou le film avec Dolph Lundgren.


Image Image

Au final, rien de concret sur ces derniers points mais suffisamment pour alimenter les conversations et les légendes.


En ce qui concerne les musiques, au début j'avoue avoir été déçu. Mais après une écoute attentive, elles ne sont pas mal du tout avec des passages très mélodieux qui cadrent vraiment bien avec le style du jeu. On peut remercier Takushi Hiyamuta à l'origine de ces mélodies et qui a oeuvré dans des jeux comme Undercover Cops ou Metal Slug 2. Un rythme soutenu et harmonieux pour résumer.




Un des seuls points noirs du jeu est l'engrish ou anglais approximatif appliqué aux deux versions du jeu. D'une part pas sûr que le prénom Enima soit bien orthographié car il semblerait que ça soit plutôt Emilia son origine. Ensuite pour l'épilogue de l'aventure qui mettra à rude épreuve votre concentration afin de le déchiffrer. On dirait un texte passé au traducteur online à vif. Enfin bon, si c'est juste ça, c'est supportable.


Le Slash de conclusion

Cross Blades! / Blade Master est un très bon Hack'n Slash, encré précisement dans sa décennie et qui n'a pas à rougir des autres beat'em all de cette période. Il est une sorte de messager du potentiel de la PCB M92, de la qualité des productions à venir et du talent de l'équipe IREM. Avec beaucoup d'application dans sa réalisation, un zeste de technique et beaucoup d'action, ce jeu comblera les arcadiens du jeu immédiat et sans prise de tête. Si vous ne connaissez pas, prenez le temps de l'essayer, vous verrez qu'une fois impliqué dans le combat, l'engrenage vous aura déjà emporté.


Image

Remerciements :
Saikyo Mog
Takebo
Goji
Joël Arrault
Dernière édition par Kretinou le 24 Avril 2014, 23:45, édité 1 fois.
Avatar de l’utilisateur
Kretinou
Grrr Méchant Grrr
 
Message(s) : 3407
Inscription : 11 Janvier 2013, 12:27
Localisation : Planète Sensualis

Re: Cross Blades! (Irem)

Message par ゴジラ » 23 Avril 2014, 18:55

Non, je ne craquerai pas pour des jeux Irem, non... AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHH !

Merci pour ce test plein de testostérone, de bonne humeur et de passion.

J'en reviens toujours pas de la taille de certains sprites.
Avatar de l’utilisateur
ゴジラ
Administrateur
 
Message(s) : 2659
Inscription : 11 Janvier 2013, 14:39

Re: Cross Blades! (Irem)

Message par supercarotte » 24 Avril 2014, 08:33

Il est sur ma wish list depuis fort longtemps, et j'ai jamais eu l'occasion de le toper :(
Avatar de l’utilisateur
supercarotte
 
Message(s) : 76
Inscription : 28 Janvier 2013, 21:10

Re: Cross Blades! (Irem)

Message par AiR duEL » 24 Avril 2014, 14:35

Magnifique test :) Très marrant à lire en plus.

Il ne manquait pas grand chose à ce jeu pour être un hit exceptionnel. De personnages plus rapides, quelques possibilités en plus (courir, une magie).
C'est pardonné compte tenu de l'âge. Il faut dire que ces graphismes lui font du tort : avec un tel niveau esthétique, on s'attend à un jeu moins vieux, et on est donc plus exigeant !

Undercover cops reste le top ! :heart:

[EDIT] Kretinou, à quand un test de Hook et de Ninja Baseball Batman ? D'ailleurs qu'en penses-tu ?
AiR duEL
 
Message(s) : 21
Inscription : 08 Avril 2013, 16:17

Re: Cross Blades! (Irem)

Message par Tronky » 24 Avril 2014, 23:36

j'aime cette Kretinreviou,
Takushi Hiyamuta pour les musiques, vou savez me dire qui d'autre constituait l'équipe de développement ?
Avatar de l’utilisateur
Tronky
 
Message(s) : 421
Inscription : 27 Janvier 2013, 12:03

Re: Cross Blades! (Irem)

Message par AiR duEL » 25 Avril 2014, 12:08

J'ai quelques hypothèses, mais je creuse encore.
AiR duEL
 
Message(s) : 21
Inscription : 08 Avril 2013, 16:17

Re: Cross Blades! (Irem)

Message par neogeocdworld » 16 Mai 2014, 22:25

Je ne connaissais pas merci pour ce dossier de présentation tres complet !
neogeocdworld
 
Message(s) : 68
Inscription : 12 Juillet 2013, 13:03


Retour vers Reviews

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 1 invité

cron